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1. Questions de fonds

Quel numérique voulons-nous demain, pour nos entreprises, nos villes, notre pays ?

Un Numérique sobre, oui mais comment ?

Quelle est ma vision du Numérique à 10 ans pour mon entreprise ? En ai-je une ?

Quelle est ma boussole à 10 ans pour un numérique souverain ?

Comment rendre plaisant, durable et économiquement performant notre numérique à venir ?

Comment diriger l’évolution de son Numérique ?

2. Réflexions habituelles

Les sujets de surfaces : GAFAM, OpenSource, challengers.

Les tendances technologiques du moment : Cloud, OnPremise, Devops, NoCode

Les modes et les peurs : Externalisation, Internalisation, Pénurie de main d’œuvre, Pénurie de matières .

Faut il du Made in France ? Made in Europe ? Made in Earth ?

Nous sommes dépendants du numérique, et cela peut faire peur !!! D’ailleurs cela devient une économie la Peur …

La souveraineté, c’est bien. Mais c’est une histoire politique ou régalienne qui nous dépasse…

3. Regards originaux

Plutôt que de dépendre du numérique…

Et si nous étions “Souverain de notre numérique” ?

Et si nous décidions qu’avoir plus de ressources humaines, digitales, technologiques peut se remplacer par de meilleures ressources humaines, un meilleur digital, de meilleures technologies ?

Et si nous prenions en main le destin numérique de nos entreprises pour le rendre durable ?

Et si nous pouvions disposer d’une méthode, d’un cadre, pour fabriquer un Numérique durable ?

4. Solutions originales

Pouvons nous compléter les socles actuels de la souveraineté, issus de notre histoire, par les enjeux actuels : Durabilité et Numérique ?

Et si la souveraineté était un concept dont chacun et chacune pouvait s’emparer dans une entreprise ?

Depuis quelques décennies, de plus en plus d’industriels se sont inspirés du bio mimétisme pour résoudre des équations très complexes. Pourquoi pas dans les sujets du numérique ?

Existe-t-il une méthode qui permette de créer des systèmes de production économiques viables, écologiquement soutenables et socialement équitables et qui en plus serait applicable à un numérique souverain ?

Définition historique

La souveraineté est la qualité d’une entité de n’être obligée que par sa propre volonté au but qu’elle est appelée à réaliser.

La quête de la souveraineté est un chemin, une trajectoire.

La notion de souveraineté nous renvoie à des sujets d’autonomie, de maîtrise, d’influence.

Il est primordial de considérer la quête de la souveraineté comme un chemin plutôt qu’un seul objectif ; car même si la souveraineté revêt un caractère d’autonomie essentielle, elle reste toujours une forme de dépendance à des aléas ou des ressources qui l’entourent. Nous pouvons donc définir un degré de “souveraineté acceptable”.

Durant le cheminement vers cette souveraineté acceptable, de nombreuses découvertes et prises de conscience des équipes qui y participent vont permettre de modéliser l’acceptabilité et l’équilibre de cette autonomie.

La souveraineté doit donc être un chemin parsemé de livrables et d’étapes pour y avancer !
Ces points de passage ont pour missions de donner le courage, l’exemple et l’envie de continuer vers de nouvelles étapes. Et ainsi de suite…

Philosophiquement, une souveraineté “trop parfaite” ou “totalement finalisée” l’exposerait à un changement de sens, celle-ci deviendrait le Graal à défendre voire un dogme. Ce qui lui ferait perdre tout son sens d’agilité et de résilience.

Alors, où trouver un guide, une méthode qui nous permettrait de tracer ce chemin vers une souveraineté numérique durable ?

Où trouver ce qui nous permettrait de récolter régulièrement la production de ces éléments, tout en affichant des fondamentaux de résilience, de capacité d’évolution et d’équilibre ?

Le biomimétisme désigne un processus d’innovation et d’ingénierie.
Il s’inspire des formes, matières, propriétés, processus et fonctions du vivant.

Si dans la quête de notre souveraineté numérique nous recherchons un chemin, une trajectoire alors face à mes enjeux numériques, découpés par élément ou dans leur globalité, qu’existe-t-il dans la nature qui se rapproche de cette quête ?

Les processus de la nature, par leur durabilité et leur résilience, peuvent devenir notre source d’inspiration pour fabriquer notre souveraineté numérique durable.

Regardez toute la nature c’est bien, mais existe-il un référentiel ou une méthode, qui regroupe les bonnes pratiques de la nature directement applicable à un système ?

Si nous trouvons la réciproque de nos enjeux de souveraineté à résoudre dans la Nature, alors notre vision devient :

  • Observable
  • Partageable
  • Réalisable
  • Durable
  • Inspirante
  • Différenciante

Cette méthode, ce guide, existe depuis maintenant 50 ans. Des années d’observation et d’analyse via le bio mimétisme, pour comprendre les processus de la nature et la méthode apparaît.

Elle s’inspire du Vivant et de la Nature, et s’appelle la Permaculture.

Socialement équitables

Concrètement, un numérique œuvrant pour être socialement équitable doit pouvoir trouver le bon équilibre entre l’intelligence humaine et l’IA (intelligence artificielle), être naturellement inclusif, considérer l’humain comme une ressource rare, donner du sens à l’avenir et tracer un chemin qui prend soin naturellement des humains.

Écologiquement soutenables

Il faut concevoir des systèmes naturellement sobre. Donc penser à un design du Numérique qui ne fait pas d’autres déchets que ce dont il se nourrit naturellement, un Numérique résilient qui régénère ces propres ressources, un Numérique qui sait vivre en harmonie avec la planète et l’humain.

Ainsi le sujet de la sobriété numérique re-visitée par le concept des cycles fermées de la Permaculture prend une dimension différente, non culpabilisante, et durable.

Économiquement viables

Bâtissons un Numérique qui économise les ressources financières, qui est économiquement compétitif et qui contribue durablement à la résilience de l’économie.

Un numérique sobre, simple, robuste, inspiré du biomimetisme sera naturellement économiquement performant en étant frugal, résiliant, beau et évolutif. Tant dans sa mise en oeuvre que dans sa durée de vie.

Performance économique et production numérique résiliente doivent rimer ensemble.

Méthode de conception

Pour maitriser au mieux notre destin, décideurs ou influenceurs, nous devons poser la vision du Numérique que nous souhaitons. Une vision posée indépendante des modes technologiques et des chiffons rouges de l’économie de la peur. Il ne viendrait à l’idée de personne de construire une maison sans faire un plan.
Et pourtant …

Alors une fois cette vision posée, une approche de construction d’une Souveraineté Numérique via les concepts de la Permaculture va nous guider méthodiquement pour concevoir le modèle qui répondra à cette vision, et ce, de façon durable !

Production de systèmes

L’objectif final est bien de réaliser une production durable de nos systèmes numériques en respectant un schéma global.

Du concret, des livrables pour mettre en œuvre des mécanismes techniques, humains, processus opérationnels qui fonctionnent selon les règles de la Permaculture appliquées à l’univers numérique.

Une équation philosophique pour marquer l’inspiration importante du naturel appliqué au Numérique.

La souveraineté numérique en équation pourrait se résumer ainsi :

C’est la somme des compétences humaines et technologiques, multipliée par tous les potentiels du numérique, divisée par les inspirations du biomimétisme, et le tout élevé de façon durable par la permaculture.

1 fonction = plusieurs éléments

C’est la toute première base pour une résilience d’un système durable ! Toute fonction essentielle du système doit être pourvue par plusieurs éléments. Ainsi, si l’un d’eux vient à défaillir, alors la fonction est maintenue. Le système continue de fonctionner.

1 élément sert à plusieurs fonctions

Deuxième base pour une résilience d’un système durable : chaque élément qui compose un système doit être utilisé à plusieurs fonctions.

Gérer et fermer les cycles

Chaque élément qui sort d’un processus doit être repris dans un autre processus (expérience 0 déchet). Enfin, dès lors que le cercle est fermé sur plusieurs itérations, le cycle est autonome et durable.

Cybersécurité

La Cybersécurité d’une entreprise par le prisme de la permaculture.

Réseaux

Les Réseaux de communication par le prisme de la permaculture

Plateformes

Les Plateformes par le prisme de la permaculture

Datas

Les Datas, RPA et IA par le prisme de la permaculture

Humains

La gestion des Femmes et des Hommes par le prisme de la permaculture

Postes de travail

La gestion des Postes de travail par le prisme de la permaculture

Schéma directeur d’une souveraineté numérique

Avec l’aide d’une représentation fractale, nous pouvons mieux visualiser comment fonctionne la permaculture.

De haut en bas, de bas en haut, d’avant en arrière, d’arrière en avant, se répétant du plus grand au plus petit..

Toutes les liaisons des éléments de notre numérique sont imbriquées entres elles.